Deniz polisinden Adalar çevresinde 'deniz taksi' denetimi

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a averti des “conséquences terribles” pour des millions de personnes, affirmant que les tarifs “nuiront aux consommateurs dans le monde entier”.

Elle a déclaré qu’il “n’existe pas de voie claire à travers le chaos et la complexité” causés par l’impact sur tous les partenaires commerciaux des États-Unis, mais a souligné que “l’unité de l’UE est notre force” et que le bloc est prêt à répondre avec des contre-mesures calibrées.

Le ministre allemand de l’Économie sortant, Robert Habeck, a souligné la nécessité d’une réponse unifiée de l’UE et a déclaré que le bloc devrait exploiter le fait qu’il possède le plus grand marché unique au monde.

La Première ministre italienne, Giorgia Meloni, a qualifié les tarifs américains de “mauvais choix” et a promis de faire tout ce qui est possible pour conclure un accord avec les États-Unis afin d’éviter une guerre commerciale qui “affaiblirait inévitablement l’Occident au profit d’autres acteurs mondiaux”.

Le Premier ministre suédois, Ulf Kristersson, a exprimé sa “profonde tristesse” face à la décision américaine, saluant les avantages du libre-échange tout en déclarant : “Nous ne voulons pas d’un renforcement des barrières commerciales.”

Il a indiqué que son gouvernement est prêt à agir et à “travailler avec l’UE pour inverser ces développements”.

Le Premier ministre irlandais Micheál Martin a déclaré que les tarifs “ne profitent à personne” et sont “nuisibles à l’économie mondiale, aux personnes et aux entreprises”.

Le Premier ministre polonais Donald Tusk a publié un message bref sur les réseaux sociaux : “L’amitié signifie partenariat. Le partenariat signifie des tarifs réciproques réels et sincères. Il faut des décisions fortes.”

Le Premier ministre finlandais Petteri Orpo a jugé les décisions tarifaires “inquiétantes” et a averti qu’il “n’y a pas de gagnants dans une guerre commerciale”.

“Les entreprises, les consommateurs et la croissance économique souffrent. L’UE est prête à répondre et à négocier. Nous soutenons cet effort. La Finlande est prête en tant que membre de l’Union,” a-t-il dit.

Le président français Emmanuel Macron a convoqué une réunion d’urgence cet après-midi avec les représentants des secteurs touchés par les tarifs de Trump.

Le journal économique allemand Handelsblatt a publié ce matin de nouvelles estimations indiquant que les tarifs américains (dont 25 % sur les importations de voitures) pourraient coûter jusqu’à 11 milliards d’euros aux constructeurs allemands BMW, Mercedes et Volkswagen. L’Allemagne est le principal exportateur automobile de l’UE vers les États-Unis. Cela représente environ un tiers des 36,8 milliards d’euros de ses exportations totales vers ce marché.

Hibya Haber AjansıFrance News Agency

 

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